Sur la lancée de son probant succès à Royan, et bénéficiant de nouveau de la décharge de sa partenaire,
Ocamonte (2) mérite un certain crédit.
Paint Island (5) n'a pas si mal couru en dernier lieu. Confié à Maxime Guyon, il doit être compétitif en pareille société.
Cloud Eight (6) nous a laissés sur notre faim lors de sa rentrée.