Les trotteurs retrouvent l’hippodrome d’Enghien ce mercredi 4 août, qui accueille le traditionnel Quinté+ dans le Prix du Parc des Princes, quatrième épreuve du programme. Ils ne seront que treize à tenter leur chance sur les 2.150 mètres, départ à l’autostart. Parmi eux, entre autres, la candidature de
Copsi (12) attire l’attention. Au mieux depuis plusieurs, le second atout de Dominik Loqueneux, qui aligne également
Dona Viva (7), s’est tout simplement imposé lors de ses trois dernières venues sur le plateau de Soisy, les deux dernières ayant eu pour cadre le parcours du jour. En dernier lieu, il a brillamment dicté sa loi en 1’11’’7 et paraît de tailler à remettre le couvert, de nouveau uniquement déferré des antérieurs, bien qu’il s’élance en seconde ligne pour l’occasion.
Sur son chemin, il va devoir croiser le fer avec
Euro du Chêne (11), récent héros de l’étape du GNT aux Sables d’Olonne. Dans sa robe de mariée actuellement, le représentant de la casaque Guedj vient de venir à bout de rivaux de premier plan, plaçant sa redoutable pointe de vitesse finale au bon moment. A Matthieu Abrivard désormais de lui redonner le même parcours aux « petits oignons ». Derrière, les deux élèves de Jean-Luc Dersoir sont incontournables, à commencer par le délicat
Equinoxe Jiel (2), qui n’est surtout pas de tous les jours mais déjà prouvé qu’il était très compétitif à ce niveau, et
Elite de Jiel (13), récente dauphine de notre préféré sur ce parcours, alors qu’elle s’élançait en première ligne, ce qui ne sera pas le cas ici. Toujours dans le coup sur cette piste, le régulier
Césario Bello (10) vise une confirmation. Très à l’aise sur la vitesse,
Dénicheur du Vif (9) va être mis en « mode course » cette fois en étant déferré des antérieurs et Aymeric Thomas a fait appel à Alexandre Abrivard pour le driver. A l’issue d’un déroulement favorable, il dispose d’une belle carte à jouer. Venant d’effectuer un parcours de remise en confiance, après avoir été légèrement malade,
Datcha (5) manque de régularité mais, bien disposée, elle a son mot à dire pour les places, à l’image de
Dona Viva (7), laquelle a toutefois moins de marge de manœuvre que par le passé.