Un lot de pouliches où
Silver Grace (8), présentée par l'habile Jörgen Westholm, semble en mesure de confirmer sa montée en puissance et d'ouvrir son palmarès. Pour lui barrer le chemin, on peut penser à l'inédite
Her Majesty Mearas (3), qui défend les intérêts du fameux tandem Erik Adielsson-Svante Bäth, mais aussi à l'américaine
Oblivion (6), associée à Ulf Ohlsson pour ses débuts scandinaves.
Bachelor Girl (2) vient de faire afficher une bonne réduction kilométrique et mérite du crédit.